L’éducation positive

L’éducation positive

L’éducation positive est un terme “à la mode” depuis quelques années. J’ai envie de te partager mon point de vue et comment nous essayons de l’appliquer ???? Si jamais le compte de @papapositivefr est top pour parler de ce sujet ! 

On a souvent tendance à confondre “éducation positive” avec laxisme. En effet, beaucoup de gens disent : tu lui dis oui à tout, il-elle ne connait pas la frustration, ça ne lui rend pas service, etc.

Pour moi, éduquer dans le positif et la bienveillance c’est : Communiquer de façon non-violente – Mettre des limites, dire non

Définir des règles et les expliquer :

Chez nous, il y a 3 “niveaux” de règles :

celles qui seront toujours OK : dormir dans notre lit, porter le style d’habit qu’il souhaite (une robe par ex.)

celles qui dépendent de la situation : manger une sucrerie, regarder la télé

celles qui sont intransgressibles : les règles de sécurité notamment

Connaître ses émotions, ses limites et être capable de se retirer, de demander de l’aide quand on est à bout

Apprendre à gérer ses propres émotions pour faire figure d’exemple

S’autoriser à ne pas être dans “l’éducation positive” H24

Et ça, je pense que c’est une des choses les plus importantes ! S’il arrive que le ton monte avec notre fils, que l’on s’énerve etc, nous prenons le temps d’en reparler lorsque la tension est redescendue. A ce moment-là nous lui expliquons que nous avons aussi des émotions, un seuil de patience et de tolérance et que parfois il est atteint.

Par contre il y a un pas que j’espère ne jamais franchir et que je m’interdis, c’est la violence physique et verbale.

Je ne suis pas en train de dire que notre façon de faire est juste, que c’est ça l’éducation positive, etc. Mais après avoir lu différents ouvrages, articles, etc. sur le thème, je me suis faite une certaine définition de ce que j’ai envie pour notre fils, pour notre famille et c’est celle qui nous correspond ????

Julie

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Dépistage du diabète gestationnel

Dépistage du diabète gestationnel

“Le dépistage systématique du diabète pendant la grossesse fait partie des mesures de prévention recommandées pour le suivi de la grossesse.”

“Cette forme de diabète se déclare chez environs 10 à 15% des femmes enceintes ; c’est l’une des complication les plus fréquentes de la grossesse.” (https://www.chuv.ch/fileadmin/sites/dfme/documents/dfme-depistage-diabete-gestationnel.pdf)

Le test se fait entre la 24ème et la 28ème semaine.

Une première prise de sang a jeun sera faite pour doser le taux de sucre dans le sang. Selon le résultat, on te fera un test appelé “hyperglycémie provoquée par voie orale” (en gros un shot de sucre)

Certain-es gynécologues le font passer d’office, d’autres ne font qu’une prise de sang et si les résultats ne sont pas alarmants, ils n’imposent pas l’ingestion de la boisson sucrée.

Personnellement, je n’ai pas pu y échapper ! À part mon âge (31ans à l’époque hum), je n’avais pas d’autres facteurs de risques et je ne pense pas que mes résultats étaient mauvais…

Mais voilà, pas le choix, j’ai bu cette dose astronomique de sucre et ai dû ensuite rester au cabinet pour refaire la prise de sang, tant de temps après. J’ai eu tout à coup des monstres nausées et vertiges, ce n’était vraiment pas une partie de plaisir !

Tout ça pour dire que je pense qu’il est important de questionner ton-ta gynéco au moment où il-elle te parle de ce test. Est-ce vraiment nécessaire de provoquer cette hyperglycémie ? Ai-je des facteurs de risques ? Est-ce possible de ne pas la faire d’office ? etc.

N’oublie pas que c’est ton corps, tes choix (dans la mesure du médicalement acceptable pour ta santé bien entendu !) et que tu as le DROIT de demander des informations, des précisions sur un acte médical que l’on veut te prodiguer (ou t’imposer).

Julie

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L’aide ménagère

L’aide ménagère

J’ai toujours détesté faire le ménage (celles et ceux qui aiment, levez la main !), bien que je sois plutôt maniaque.

J’ai souvent pensé à prendre une aide ménagère, mais plusieurs choses me freinaient : mon mari ^^, l’aspect financier, le fait qu’un-e inconnu-e vienne chez moi en mon absence et surtout qu’une tierce personne nettoie ma saleté, cela me gênait.

Au fil des années, à force de m’énerver avec ce ménage, de nous prendre le chou pour répartir les tâches ménagères, j’ai décidé de tester ce service. J’ai osé tenter l’expérience car l’aide ménagère était aussi celle d’une amie et j’avais donc confiance.

J’ai fait plusieurs essais de différentes personnes (éternelle insatisfaite que je suis) et des pauses plus ou moins longues (insatisfaite, question financière, etc.).

Avec l’arrivée de mon fils, la dépression post-partum qui s’est installée sans que je m’en rende compte, la fatigue, etc. J’ai commencé à me demander s’il ne fallait pas à nouveau que je fasse appel à quelqu’un.

Forcément que ces phrases méga culpabilisantes ont envahi mon esprit : “Tu n’es même pas capable de faire ton ménage et t’occuper de ton enfant”, “Tu ne travailles pas, tu peux quand même le faire”, “Tu n’as pas honte de demander à une tierce personne de nettoyer ta M?” et j’en passe.

Je pense que la pensée la plus culpabilisante était : “Tu ne bosses pas, tu pourrais quand même le faire, comment font les parents qui bossent ?!”.

Mais étant donné que cela devenait “vital”, j’ai pris la décision d’engager à nouveau une aide ménagère (recommandée par une amie), dont je suis actuellement encore très satisfaite !

Avec le temps, le travail sur moi, le lâcher prise, je me rends compte que je suis moins exigeante (je pense qu’à une époque personne n’aurait pu faire le ménage comme je voulais) et cela me soulage tellement !

Et même si quand je dis que j’ai quelqu’un pour faire mon ménage, alors que je suis à la maison (avec mon fils ou au boulot chez moi), j’ai “peur” de la réaction, une grande partie de moi s’en fiche quand même car ça me change la vie ! (un peu contradictoire la nana )

L’autre aspect que je trouve aussi “dur” à gérer quand on en parle avec d’autres gens c’est cette image du : “Tu as une aide ménagère, tu as du fric”. Alors certes, cela a un coût, mais comme toute dépense, elle fait partie d’un choix, de sacrifices à d’autres endroits. Mais comme dit précédemment, pour moi c’est un réel poids en moins et rien ne peut concurrencer cela.

Si je fais ce post c’est pour te dire que :

OUI tu as le droit de demander de l’aide

OUI on peut être parent au foyer et ne pas faire le ménage

OUI tu as le droit de changer si la personne ne te convient pas

OUI c’est un coût mais fait le calcul “bénéfice-perte” de cette charge en moins

et

FAIS CE QUE TU VEUX !

Julie

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Comment annoncer ma grossesse ?

Comment annoncer ma grossesse ?

Tu es enceinte et tu cherches une idée originale pour l’annoncer ? Nous te proposons quelques idées !

Seven Paper, atelier de création graphique lausannois, propose de jolies cartes à gratter pour annoncer ta grossesse et plein d’autres cartes.

Seven Paper propose aussi des cartes “mots mêlé” pour faire la demande au parrain ou à la marraine ou pour annoncer la grossesse aux grands-parents, par exemple.

Tu peux aussi acheter des petits chaussons et les glisser dans une boîte que tu offriras à la personne à qui tu veux annoncer ta grossesse.

Lorsque tu vois ta famille, tu peux porter un t-shirt qui annonce la grossesse et voir qui sera attentif-ve à ta tenue !

Tu peux aussi emballer ton test de grossesse et/ou la première échographie dans une petite boîte cadeau et l’offrir.

Tu peux acheter un puzzle vierge et écrire un message que tes proches devront reconstituer. Tu peux aussi faire imprimer la photo de l’échographie et le donner à faire.

Tu peux faire deviner la nouvelle à l’aide d’un rébus. Je l’avais fait à mes élèves, ils avaient mis un moment à trouver !

Lors d’un repas de famille ou lors de la pause, tu peux proposer des petits biscuits remplis d’indices !

Julie

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Ton accouchement : ce que tu peux demander

Ton accouchement : ce que tu peux demander

On a parfois l’impression de demander la lune, de ne pas oser, de trouver nos requêtes ridicules… mais il n’y a pas de question ou de suggestion bête ! Tu as le droit de demander, après, cela va bien entendu être validé par les médecins en fonction de la situation. L’accouchement et la rencontre avec son enfant sont des moments uniques et tu as le droit de le vivre de la meilleure façon ❤️

Toutes ces suggestions sont bien entendu applicables selon la situation, l’avis médical des professionnel-les, ton état de santé, celui de ton bébé, etc.

Tu as le droit d’accoucher dans la position que tu souhaites. Non, la position “gynécologique” n’est pas une obligation !

Tu as le droit de demander à faire du peau à peau, toi ou la personne qui t’accompagne.

Tu as le droit de demander un clampage tardif même si tu as ton bébé en peau à peau.

Tu as le droit d’attraper toi-même ton bébé à sa sortie.

Tu as le droit de ne pas être d’accord avec un geste médical et demander à ce qu’il ne soit pas effectué (par exemple l’épisiotomie)

Tu as le droit de demander des accessoires pour soulager ta douleur (un ballon par exemple)

Tu as le droit d’avoir la personne qui t’accompagne à tes côtés et celle-ci a le droit d’être proactive durant le travail et l’accouchement.

Tu as le droit de ne pas avoir tout le personnel médical et les étudiants de l’hôpital ou de la clinique qui scrutent ton vagin !

Julie

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