Nos coffrets à La Clinique de La Source

Nos coffrets à La Clinique de La Source

C’est avec beaucoup d’émotions que nous vous annonçons que nos mini-coffrets sont désormais en vente à la Clinique de La Source, à Lausanne.

Ayant toutes les deux accouché à la Clinique de La Source, nous sommes émotionnellement très attachées à ce lieu. Nous sommes donc très touchées de pouvoir collaborer avec leurs équipes et proposer nos mini-coffrets aux parents de demain.

Et nous sommes très fières que les parents de demain puissent se voir offrir un cadeau UTILE lors de la naissance de leur enfant. ????????

Tu pourras retrouver nos mini-coffrets « Allaitement », « Bébé » et « Cadeau de naissance » en vente au kiosque de la Véranda.

Donc pas de panique, si bébé arrive avec un peu d’avance ou si tu n’as pas d’idée pour le cadeau, on sera là pour que tu puisses quand même offrir quelque chose d’utile et qui répond aux besoins des parents et de bébé.

Merci à la Clinique de La Source pour leur confiance ! 

Julie

Yasmine

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Tomber enceinte : vraies et fausses idées

Tomber enceinte : vraies et fausses idées

Quand on souhaite tomber enceinte, on entend pleeiiiin de conseils, d’idées, de tips. Parmi tout cela, il y a du vrai et…du faux !

Tiré de l’article : https://www.sanitas.com/fr/magazine/vivre-ensemble-aujourd-hui/desir-d-enfant-mythes-et-faits.html

Fait ou mythe ? « Le sirop contre la toux augmente vos chances de tomber enceinte. »

FAIT

“Cela peut sembler irréaliste, mais ce remède a bel et bien un effet positif. En effet, le sirop contre la toux change la consistance de la glaire cervicale (écoulement vaginal qui constitue un facteur essentiel pour tomber enceinte) et la rend compatible avec les spermatozoïdes.”

Fait ou mythe ? « Après les rapports sexuels, vous ne devriez pas aller aux toilettes. »

MYTHE

“Pour prévenir les infections des voies urinaires, de nombreuses femmes vont aux toilettes immédiatement après les rapports sexuels. Vous n’avez pas à vous en passer, même lorsque vous souhaitez tomber enceinte.

Même si du liquide s’écoule du vagin, il n’y a aucune raison de s’inquiéter. Il s’agit principalement de protéines et de vitamines. Les spermatozoïdes ne représentent en tout qu’un pour cent du sperme. Immédiatement après l’éjaculation, les trois quarts des spermatozoïdes se détachent du sperme et migrent directement vers le col de l’utérus. Lorsque vous vous rendez aux toilettes, les spermatozoïdes sont déjà arrivés. Tout ce qui s’écoule n’aurait donc de toute façon pas réussi à atteindre le col de l’utérus.”

Fait ou mythe ? « Vous ne pouvez pas tomber enceinte pendant vos règles. »

MYTHE

“Il est peu probable que vous tombiez enceinte pendant vos règles, mais ce n’est pas impossible. Les facteurs décisifs sont la durée des règles et le moment de l’ovulation dans le cycle. Un cycle commence le premier jour des règles et se termine le premier jour des règles suivantes.”

Fait ou mythe ? « Certaines positions ou faire le poirier favorisent la fécondation. »

MYTHE

“La gravité ne joue aucun rôle dans le processus de fécondation. D’un point de vue médical, il n’existe pas de position qui puisse favoriser les chances de tomber enceinte. Toutefois, certaines études ont montré la chose suivante: après de longs préliminaires, les hommes avaient plus de sperme dans l’échantillon de sperme que les hommes qui n’avaient que de brefs préliminaires. En bref: le plaisir est plus important que la position.”

Fait ou mythe ? « Les lubrifiants sont nocifs pour les spermatozoïdes. »

FAIT

“On pourrait penser que les lubrifiants sont similaires à la glaire cervicale et qu’ils pourraient être favorables pour tomber enceinte. C’est toutefois le contraire: certains lubrifiants ont une teneur élevée en acide, ce qui tue les spermatozoïdes. Par ailleurs, la consistance des lubrifiants fait en sorte que les spermatozoïdes ont de la difficulté à se déplacer librement.”

Fait ou mythe ? « De bons tests de grossesse déterminent une grossesse quatre jours après l’ovulation. »

MYTHE

“Un test de grossesse n’est possible au plus tôt que huit jours après l’ovulation. Si vous souhaitez avoir un résultat digne de confiance, il vaut mieux attendre et faire le test au moins 12 jours suivant la période d’ovulation.

La raison: une grossesse n’est possible que lorsque l’ovule fécondé s’est implanté dans l’utérus. Cela se produit dans les huit à 10 jours après l’ovulation. Ce n’est qu’alors que l’embryon commence à produire l’hormone de grossesse hCG. Il s’agit de l’hormone que les tests de grossesse détectent. Il faut souvent quelques jours avant que le niveau soit suffisamment élevé pour que les tests puissent la détecter.”

Julie

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Une affiche pour mon cycle

Une affiche pour mon cycle

Le cycle menstruel, les règles, les ragnagnas, l’ovulation, les douleurs, le stress quand les anglais débarquent ou pas.. voilà ce qui rythme plus ou moins 20 ans de nos vies à nous les femmes ????

Peut-être ressens-tu un peu d’amertume dans mon article et tu as raison. Perso mon cycle est un fardeau, j’ai beau essayer je ne le vois pas comme une chance. Ça me soûle les règles, ça me soûle les tiraillements dans le ventre, ça me soûle les variations de libido et j’en passe !

Grâce à cette BD je l’apprivoise petit à petit et j’essaie d’y voir les côtés positifs et surtout de plus respecter mon rythme en fonction des phases du cycle.

Dans un mail du matin des Fabuleuses, j’ai découvert la bande-dessinée de Fleur-Lise Palué qui parlait du cycle menstruel (https://fabuleusesaufoyer.com/quatre-femmes-en-une-bd/)

Bien qu’ayant déjà lu plusieurs articles sur le sujet, je n’arrivais pas vraiment à me représenter les 4 phases de mon cycle. C’est cette bande dessinée et le livre de Miranda Gray “La femme optimale” qui m’ont permis de mieux comprendre ces différentes phases et les vulgariser.

C’est aussi en me penchant plus sur le sujet que je me suis rendu compte qu’il serait important que mon mari sache où j’en suis dans mon cycle afin de pouvoir mieux comprendre les différentes choses qui peuvent se passer dans mon corps et ma tête.

En partant de ce constat et en en discutant avec lui, j’ai “créé” cette petite affiche. Elle est accrochée à la cuisine et je déplace un petit aimant pour indiquer dans quelle phase je me trouve.

En plus de permettre à mon mari de suivre mon cycle, cela m’aide aussi à me rappeler où j’en suis et quels sont les mots clés de la phase.

Tu vas me dire que je suis un peu old school et que je pourrais simplement partager une app avec mon mari 🙂 Bien entendu, mais l’application que j’utilise (Cycles) que je trouve géniale, n’est que sur iPhone et il est sur Android.

De plus, je trouve que le visuel papier est plus parlant et vu qu’il est à un endroit “de passage” dans la maison, il y a toujours accès et je n’oublie pas non plus de bouger mon petit aimant pour indiquer où j’en suis. Et je me dis qu’un jour ce sera peut-être aussi utile pour mon fils ^^

Julie

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Interruption Volontaire de Grossesse

Interruption Volontaire de Grossesse

En Suisse, tu as le droit d’interrompre ta grossesse, si cette dernière est imprévue ou non désirée ou si ton bébé ou toi-même présentez des risques d’atteinte à votre santé.

Selon l’art. 119 du code pénal :
“L’interruption de grossesse n’est pas punissable si, sur demande écrite de la femme qui invoque qu’elle se trouve en situation de détresse, elle est pratiquée au cours des douze semaines suivant le début des dernières règles par un médecin habilité à exercer sa profession. Le médecin doit au préalable s’entretenir lui-même de manière approfondie avec la femme enceinte et la conseiller.”

L’interruption médicamenteuse est pratiquée jusqu’à la septième semaine de grossesse. Dans de nombreux hôpitaux ou cabinets médicaux, tu recevras le médicament jusqu’à la neuvième semaine. Renseigne-toi ! Cette méthode nécessite la prise de deux médicaments, à prendre dans un intervalle de 36 à 48 heures. Selon les pratiques locales, tu peux prendre les deux médicaments au cabinet médical, à l’hôpital ou chez toi.

Dans des cas très rares, l’expulsion du fœtus par voie médicamenteuse peut être incomplète et nécessiter une intervention chirurgicale. Un contrôle après le traitement est donc indispensable.

Jusqu’à 9 semaines d’aménorrhée, l’OMS recommande la méthode médicamenteuse qui est moins invasive.

L’interruption de grossesse chirurgicale ou curetage a lieu sous anesthésie complète ou partielle. Quelques hôpitaux et cabinets médicaux proposent également une anesthésie locale. L’intervention est pratiquée à l’hôpital (en ambulatoire ou avec hospitalisation si nécessaire) ou dans un cabinet médical spécialement équipé pour cela.

Lors de l’intervention, le ou la médecin dilate avec précaution le col de l’utérus de quelques millimètres. Ceci permet d’insérer une canule et d’aspirer le contenu de la cavité utérine.

L’interruption de grossesse chirurgicale est une méthode sûre et les complications sont rares. Les possibles complications sont :
• lésions du col de l’utérus et/ou de la paroi utérine
• infections, saignements abondants, caillots de sang (thrombose)
• aspiration incomplète nécessitant une seconde intervention.

Que ce soit par la méthode médicamenteuse ou par curetage, outre les douleurs physiques, une interruption de grossesse peut entraîner des souffrances psychologiques. Cela peut être traumatisant de devoir expulser son fœtus, de le voir, de « ne pas savoir qu’en faire », etc. même en étant convaincue de ta décision initiale. C’est pour cela que nous te conseillons fortement de te faire accompagner, par des gens de confiance (partenaire, famille, ami-e-s, etc.) et/ou de professionnel-le-s, durant ce processus.

Pour les filles et jeunes femmes (de moins de 16 ans) : avant l’interruption de grossesse, un entretien dans un centre de consultation reconnu est obligatoire (article 120 du code pénal suisse). Dans la plupart des cantons, il s’agit des centres de santé sexuelle et planning familial.

Les centres de conseil en matière de grossesse s’occupant spécifiquement des jeunes sont là pour t’accompagner dans toutes tes démarches. Ils te soutiendront dans tes décisions. Les conseils sont gratuits. Toutes les personnes travaillant dans ces centres sont tenues au secret professionnel. Toi seule décides si tu souhaites informer tes parents ou d’autres personnes. Il est bien sûr préférable d’en parler à tes parents qui peuvent être d’un grand soutien dans les situations difficiles.

Lors de ton entretien avec la ou le professionnel-le du centre, cette personne
• s’assurera que tu es capable de discernement,
• s’entretiendra avec toi de ta situation personnelle et familiale,
• examinera avec toi les solutions possibles,
• clarifiera la nécessité d’une protection et, le cas échéant, estimera les mesures nécessaires à prendre.

Les partenaires sont eux aussi les bienvenus dans les centres de consultation en santé sexuelle, même si la loi stipule que seule la femme décide. Ils peuvent parler de leurs expériences, de leurs sentiments et de leur rôle dans la prise de décision en cas de grossesse non désirée. Une consultation individuelle est également possible, à leur demande.

Conformément à la loi fédérale sur les centres de consultation en matière de grossesse, la femme enceinte et son entourage ont droit à des conseils et un soutien gratuits dans un centre de santé sexuelle et planning familial. Et ceci, quelle que soit la décision qui sera prise (loi fédérale RS 857.5).

Les coûts d’une interruption de grossesse sont pris en charge par l’assurance maladie obligatoire (LAMal) aux mêmes conditions que la maladie (10% de participation aux coûts et franchise).

Nous pensons très fort à toi, que ce choix soit difficile ou non. N’oublie jamais que ton corps t’appartient et toi seule a le droit de prendre cette décision.

Liste des liens dont ces informations sont tirées et qui peuvent t’apporter des précisions :
https://www.sante-sexuelle.ch/themes/grossesse-voulue-non-voulue/interrompre#interruption-de-grossesse-medicamenteuse-avec-expulsion

https://www.chuv.ch/fr/dfme/dfme-home/femme-mere/consultations/medecine-psychosociale/interruption-de-grossesse

https://www.hug.ch/sante-sexuelle-planning-familial/interruption-de-grossesse

Julie

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Le syndrome prémenstruel

Le syndrome prémenstruel

Le syndrome prémenstruel (SPM), on en parle de plus en plus et heureusement !

Le SPM est une combinaison de symptômes physiques et psychiques qui apparaissent quelques jours avant les règles.

Ses causes ne sont, à ce jour, pas encore complètement expliquées. La cause est souvent multifactorielle. L’explication la plus souvent évoquée est un déséquilibre hormonal.

Le SPM peut être associé à plus de 150 symptômes différents ! Parmi eux : seins sensibles à la douleur, maux de tête, humeur instable, irritabilité, anxiété, manque de motivation ou de concentration, repli sur soi, etc.

Ces divers symptômes peuvent avoir des répercussions sur le quotidien et la vie de couple.
Certaines femmes sont dans l’incapacité de travailler, d’effectuer les travaux domestiques, les loisirs, etc. lorsque le SPM est sévère.

La phase du SPM engendre aussi souvent des conflits plus fréquents avec le-la partenaire.
L’irritabilité, l’hypersensibilité peuvent générer un manque de patience auprès de son-sa partenaire et/ou des enfants.

Le SPM n’est pas une fatalité et il existe des moyens pour y remédier, grâce à des méthodes naturelles et/ou en changeant certaines habitudes, par exemple.

Les fruits du gattilier (plante médicinale) permettent d’atténuer les symptômes.
Le gattilier réduit la libération de la prolactine, responsable des douleurs et du gonflement des seins avant les règles.

Si les symptômes sont plus de l’ordre de l’irritabilité, de tension, de nervosité, les préparations au millepertuis ont des effets antidépresseurs et soulagent les états de tension.
La valériane, le pétasite, la passiflore et la mélisse ont des propriétés relaxantes et soulagent l’irritabilité.

Quelques conseils pour prévenir les troubles liés au SPM :
– alimentation saine et équilibrée
– apport suffisant en acides gras oméga-3
– pratiquer une activité sportive régulière
– bon apport en vitamines B et magnésium
– techniques de relaxation pour évacuer le stress
– éviter le tabac, la caféine, la consommation excessive d’alcool
Tenir un journal peut aider à prendre conscience des facteurs d’influence et des symptômes physiques et psychiques.

À bientôt 34 ans, je me rends compte que j’en souffre certainement. Avant ma grossesse, je sentais que j’étais plus irritable avant mes règles mais sans plus. Et là, depuis quelques mois, je ressens non seulement les sautes d’humeur mais aussi plus de symptômes physique. Au début cela m’a beaucoup questionné et j’ai commencé à trouver des pistes de répondre dans ce fameux SPM.

Après bientôt 20 ans de règles, j’apprends (enfin) à analyser mes cycles, à les apprivoiser et à tirer le meilleur de chacune de ses phases.

Concernant le SPM, j’ai essayé les ampoules Happy Cycle de @jollymamafrance qui ont eu un effet assez positif ???? et sinon, j’essaie de changer certaines “mauvaises” habitudes ????

Informations tirées du site zellerag.ch

Julie

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Le périnée durant l’accouchement

Le périnée durant l’accouchement

Le périnée, c’est l’ensemble de muscles qui soutient le bas du bassin et comporte l’urètre, le vagin et l’anus. C’est avec ce muscle que tu gères ta continence urinaire et anale et en le contractant que tu soutiens ta vessie, tes intestins et ton utérus.

Durant ton accouchement, ton périnée a un rôle essentiel à jouer : il doit se relâcher pour laisser ton vagin s’ouvrir suffisamment pour laisser passer ton bébé.

Dans certains cas, ton périnée peut moins se contracter et une déchirure peut survenir, dû à son écartement trop rapide ou la poussée trop forte de ton bébé. C’est courant, nécessite parfois des points de suture et se remet généralement bien !

L’épisiotomie est un acte médical, une incision faite par un-e professionnel-le pour éviter une déchirure plus profonde du périnée ou accélérer la sortie du bébé en cas de détresse. Comme tout acte médical, tu devrais être informée, donner ton consentement et tu as le droit de refuser.

Après l’accouchement, ton périnée aura besoin de temps pour reprendre sa place et tu pourrais avoir de la peine à contrôler ta continence (urine, selles, gaz). Les sages-femmes devraient quotidiennement contrôler tes éventuels points de suture mais préviens-les de toutes douleurs ressenties.

Pour te soulager, tu peux t’aider de ton coussin d’allaitement et ainsi surélever tes fesses et jambes et réduire la pression de ton périnée.

Quand tu vas aux toilettes, surélève tes jambes à l’aide d’un marche-pied pour diminuer la pression exercée sur ton périnée durant la poussée. Tu peux t’aider d’un PériSpray pour réduire la sensation de brûlure.

Tiens toujours ton-ta sage-femme informé-e de tes sensations et d’éventuelles douleurs, celles-ci ne devraient pas perdurer plus que quelques jours après ton accouchement. Pour réduire une éventuelle incontinence, tu peux, lors d’un éternuement par exemple, croiser les jambes et serrer ton périnée.

Quelques semaines après ton accouchement et après validation auprès de ton-ta sage-femme et/ou gynécologue, tu pourras commencer la « rééducation » du périnée. Tu vas apprendre à tonifier ton muscle et surtout comprendre comment le mobiliser.
Elle est réalisée par manipulation manuelle par un-e professionnel-le et/ou avec une sonde vaginale. Tu pourras jouer, grâce à ton périnée, à un jeu vidéo 

Anna Roy, sage-femme, parle dans son livre « La vie rêvée du post-partum », du périnée et de sa « rééducation » de façon détaillée. Nous te conseillons vivement de le lire !

Le livre « Périnée » de Clémentine Siméon et Delphine Carré est aussi une source d’informations et d’exercices précieuse !

Yasmine

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